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  • Les prisonniers espagnols de 1810

    BARAILON et les prisonniers espagnols

    à l’étape de GOUZON en 1810

    De nombreuses épidémies se sont manifestées au cours des années 1786-87-88 dans tout le Bourbonnais, spécialement dans l’élection de Montluçon. Nous savons comment les soins étaient organisés dans la généralité de Moulins sous la direction de Jean François Barailon ; celui-ci avait été nommé médecin en chef de celte généralité le 31 janvier 1786 « pour le traitement des épidémies ». Il publia plusieurs « instructions » sur les maladies les plus fréquentes dans la région. En 1789. Barailon donna un mémoire sur « l’établissement qui subsistait dans la généralité de Moulins pour le traitement des épidémies » Ces mémoires, relatifs à des questions médicales, ne nous font pas oublier tout ce que Barailon a publié sur les monuments « celtiques » du pays de Combrailles. Nous possédons également une correspondance qu’il entretenait avec des médecins traitants, spécialement avec Antoine Deplaigne de Montluçon.

    Après avoir siégé aux différentes assemblées nationales et s’être retiré à Chambon, il n’abandonna pas pour autant ses préoccupations médicales, s’intéressant jusque dans les dernières années de sa vie à la propagation de la vaccine, aux épidémies locales. Nous allons le voir à Gouzon (ancienne ville close, enclave bourbonnaise dans la Marche Commune du canton de Jarnages, arrondissement de Guéret, située sur la RN 145 de Guéret à Montluçon, prodiguant pendant tout un mois d’hiver rigoureux ses soins à des prisonniers espagnols, décimés par une épidémie, et transportés par convois dans des conditions déplorables.

    C’est d’un  rapport qu’il adresse au sous-préfet  d’Aubusson le 13 avril 1810, que nous tirons l’essentiel de cette communication.

    Dans le dernier bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin Mr. Pierre Saumande a étudié la « sinistre aventure des prisonniers espagnols en Limousin en 1809 », rappelant que « lors de la guerre d’Espagne les armées françaises avaient fait un grand nombre de prisonniers. Pour limiter les risques d’évasion il fut décidé de les interner loin de la frontière des Pyrénées et c’est ainsi que d’importants convois prirent la route pour le centre de la France vers Châteauroux et Moulins » Parmi ces prisonniers fatigués par les marches, mal nourris, enfermés dans des locaux insalubres, beaucoup tombèrent malades et la contagion gagna la population en maints endroits. L’épidémie apparut en 1808 et ne semble pas avoir disparu avant 1812.

    Dans son rapport Barailon nous apprend qu’il a donné des soins aux Espagnols sur « l’invitation de M. le sous-préfet »du 18 janvier au 19 février 1810 soit pendant 32 jours durant lesquels « il a passé 21 convois de prisonniers composant en total 1056 hommes ». Il précise que « sur ce nombre 425 ont été annoncés comme malades » mais que chaque jour quantité d’autres le devenaient.

    Ces convois suivaient la route de Guéret vers Montluçon, on sait que dans cette ville de nombreux prisonniers espagnols furent employés comme manœuvres pour creuser le Port du canal du Berry.

    Barailon constate que tous les prisonniers étaient enrhumés quelques-uns crachaient le sang, plusieurs avaient des coliques «le dévoiement, la dysenterie». Il note que quantité de prisonniers par suite d’engelures avaient des plaies aux pieds, que ceux-ci étaient parfois entièrement gelés et a remarqué qu’à leur arrivée, la fièvre les poussait à briser «avec précipitation la glace pour se procurer de l’eau». Toutefois Barailon « n’a reconnu chez aucun les fièvres contagieuses dont leurs compatriotes étaient atteints l’année précédente ».

    Il met sur le compte de la fatigue et surtout du froid « qui sévissait avec violence» la propagation de l’épidémie chez ces prisonniers, remarquant fort judicieusement que la rigueur de la saison était d’autant moins supportable pour ces hommes habitués à un climat chaud. Barailon nous apprend « qu’après un trajet de longue durée sur des voitures à bœufs ils étaient logés dans des lieux froids dans la plupart des étapes, que la crainte des maladies contagieuses de l’an passé (1809) avait déterminé les autorités à placer les prisonniers loin des villes…

    A Gouzon les malades étaient logés sous le hangar de la Tuilerie de Périgord situé à une lieue de Gouzon.

    Enfin le rapport de Barailon indique que furent inhumés à Gouzon deux malades du premier convoi, et un du second., L'un des deux premiers etait mort au cours du trajet et les deux autres «avaient expiré peu d’heures après leur arrivée. Parmi les malades des convois suivants plusieurs agonisants ont succombé dans le trajet de Gouzon à Montluçon

    Le meilleur remède, Barailon l’affirme, c’est la distribution d’habillements complets          «provenant des dons des citoyens de Chambonf Avant de préciser les espèces de remèdes distribués  et les soins chirurgicaux prodigués aux prisonniers, Barailon conclutQle peu de temps de séjour des malades à Gouzon, la froideur du local qu’ils occupaient n’ont pas permis de traiter toutes leurs affections; il faut dire que diverses circonstances ont privé les malades du premier convoi de tous les secours de l’artf.

    Barailon ne manque pas de préciser le traitement Qqu’il faisait administrer» aux prisonniers espagnols  « A leur arrivée on donnait aux plus fatigués du vin cannellé ou du vin de genièvre, et au départ j’en faisais, dit-il, distribuer à tous les malades. Pour ceux atteints de coliques, de dévoiement, de dysenterie, on usait de diascordum…, de laudanum liquide f. Les plaies étaient pansées avec l’extrait de saturne et, ajoute Barailon pendant tout le temps de leur séjour, ils avaient à leur disposition de la tisane d’orge qui leur était très utile en raison de la grande soif qui les tourmentait f…Il est ensuite indiqué avec précision le nombre de malades ayant reçu les divers remèdes ainsi que la manière dont ces remèdes étaient préparés.. Le vin de genièvre était fait avec des baies concassées de cet arbuste, infusées pendant plusieurs jours et le vin de cannelle était du vin de genièvre auquel   « on ajoutait une once de cannelle en poudre pour trois pintes ».

    Barailon indique dans son rapport qu'il a « mis dans la distribution des médicaments» la plus sévère économie, et finalement, fait un relevé des dépenses engagées. Il précise qu'il a acheté 48 pintes de vin vieux chez Geoffroi aubergiste à Gouzon, que les baies de genièvre ont été ramassées par des femmes de Gouzon, la cannelle fine en poudre a été prise chez Fouchier pharmacien à Guéret, qu'enfin, étant autorisé, il s'est fait assister part M Goumy, chirurgien à Gouzon du 21 janvier au 9 février, qu'il est donc dû à ce dernier dix-neuf journées

    On ne saurait passer sous silence deux autres faits relatés par Barailon : d’une part il indique dans son rapport qu’il a terminé l’épidémie de Saint Loup et qu’il a d’autre part, sur l’indication de M le Maire de Gouzon traité plusieurs indigentsf. L’un d’eux Jean Rainaud (âgé de 46 ans )atteint de fièvre méningogastrique par suite de soins qu’il avait donnés aux prisonniers espagnols. Un second Laurent Néret (âgé de 52 ans) présentait un catarrhe pulmonaire négligéf. Le premier fut soigné avec un paquet d’émétique et le second prit deux onces de kinkina et quatre grains d’extrait gommeux d’opium, on lui appliqua également deux vésicatoires; Barailon ne manque pas d’indiquer avec une satisfaction légitime, que ces deux malades se sont rétablis.

    Extrait du texte de Mr. A. Guy communiqué aux" Amis de Montluçon" le 09/06/1989

  • Eglise Saint-Martin

    Quelques informations sur notre église !

    Ancienne chapelle Notre-Dame

    L'église de Gouzon est modeste. Cependant, elle mérite l'attention par le caractère exemplaire des choix architecturaux (voûtes à liernes, supports suspendus sur des consoles) et par le soin exceptionnel apporté au décor (trois portails, une rose en façade, sans compter une exceptionnelle statue de la Vierge à l'intérieur). Ces traits s'expliquent par trois facteurs, tous révélateurs des formes du dynamisme du XIIIème siècle : la proximité de chapelles templières gothiques, la dévotion à la Vierge et le développement d'un bourg marché.

    La volonté de bâtir un oratoire donnant sur une Grand-Place est manifeste : cependant, en l'absence d'éléments historiques précis, on ne peut saisir exactement la nature de la commande ou sa date. Liée -à une seigneurie importante, dotée de privilèges depuis 1279, la petite ville murée représente une enclave de la seigneurie du Bourbonnais au cœur de la Combraille- S'y est implanté, au XIème ou XIIème siècle, un prieuré de Lesterps. Il est peu probable cependant que notre édifice en soit un vestige. En effet, il existait aussi, à une centaine de mètres au nord-ouest, une église paroissiale dédiée à saint Martin de Tours dont les chanoines de Lesterps sont longtemps restés les patrons (souvenir d'un prieuré cure) ; on voit encore l'arrondi d'une absidiole romane inséré dans un groupe de maisons particulières. D'autre part, le pouillé du diocèse qualifie simplement Notre-Dame de Q chapelle ruralef.

    Avatars du bâtiment

    Vers 1820, la municipalité décide le transfert de l'activité paroissiale « dans une spacieuse chapelle située sur la grande place », qui servait alors de prison. Le curé la juge cependant trop petite et trop dégradée ; aussi la translation, qui concerne également le vocable (donc Saint-Martin), s'est-elle accompagnée de travaux importants, terminés en 1828 : ajouter une abside et des cloches paraissait indispensable. Les modifications apportées alors au volume et aux articulations, dont l'étude est essentielle pour comprendre la structure d'origine, n'étaient pas les premières. A une époque indéterminée, on avait surélevé la hauteur de l'ensemble de près de 5 m, ce qui avait donné cette silhouette imposante, emblématique aujourd'hui pour la ville de Gouzon, mais très gênante pour imaginer la cohérence ou établir des comparaisons.

    Architecture et décor

    Les devis de 1824 sont explicites. Ils établissent les mesures des percements, tant à l'ouest pour faire passer les cloches, qu'à l'est pour créer une « demi-lune » ou dans la paroi nord. Lorsqu'on décida finalement de ne pas loger une chapelle supplémentaire entre les deux contreforts médians, mais de la repousser vers l'est en position de faux transept, ne laissant pour la sacristie qu'une faible largeur, on se prononça également pour un allongement de l'abside, « de manière à laisser à la nef la longueur entière de l'ancienne chapelle » : celle-ci ne comportait donc que les trois travées que nous voyons encore, et se terminait par un chevet plat.

    Le volume quadrangulaire calé entre deux pignons, les lancettes étroites en meurtrières cintrées dans une pierre de linteau, le contrefort escalier de l'angle, ou les contreforts de façades, encore simples, sont communs en Haute Marche. Cependant, le caractère sommaire de la définition architecturale n'exclut pas une certaine ampleur monumentale : les travées mesurent 6,75 m en largeur et 7,10 m en moyenne en longueur, ce qui est bien supérieur aux dimensions des travées de Blaudeix ou Paulhac. Ogives, liernes, doubleaux et formerets de même profil (tore dégagé de légers cavets) créent une suite de baldaquins qui retombent sur les tailloirs semi-octogonaux des chapiteaux de colonnettes simples juchées sur des consoles.

    Les clefs de voûte sont sculptées : la première, entourée d'une corde tressée fleurdelisée, présente une Vierge un peu raide tenant une  fleur de lys, et à sa gauche, l'Enfant avec un nimbe crucifère et un  livre ; les suivantes sont en roues de feuillages. Des petites clefs  secondaires, à l'intersection entre doubleaux et liernes, constituent un  décor rare en Limousin C'est bien le souci

     

    décoratif qui distingue cette église de ses voisines. Au portail occidental s'ajoutent un portail ménagé au centre de la façade sud et une petite porte, au nord, dont les moulurations réduites suffisent à accepter quelques chapiteaux à crochets, et qui est surmontée par deux éléments sculptés en remploi. Les deux portails monumentaux, où est utilisé avec adresse le corpus régional, sont traités de la même façon : nombreuses moulurations toriques des voussures légèrement brisées correspondant à autant de colonnettes de piédroits, frises de boutons ou crochets végétaux, archivolte prolongée latéralement par des arcs étroits et surhaussés. Celui du sud est plus simple, mais il a contraint l'architecte à écarter les contreforts, qui ne sont donc pas exactement centrés par rapport aux articulations intérieures. Celui de l'ouest est plus élaboré : les frises de boutons végétaux particulièrement délicats se poursuivent jusqu'aux contreforts; l'archivolte est ornée de plusieurs motifs (dont un cordon tressé) et s'appuie sur des visages. Enfin une rose octolobée à la circonférence importante surmonte l'entrée principale.

    Interprétation

    La datation est difficile, bien que les éléments non repris par les restaurateurs soient très homogènes. Les frises végétales du portail ouest très proche de ce que l'on trouve à Saint-Yrieix (au nord) ou  Saint-Léonard (à l'ouest), comme les nervures et leurs clefs, inviteraient à ne pas trop s'éloigner du début du XIIIe siècle, mais les tailloirs et le contrefort escalier conduiraient plus tard. La construction a-t-elle accompagné l'émancipation de la ville? Était-elle destinée à servir d'écrin à la belle Vierge de calcaire (XIVe siècle) que l'on peut toujours admirer ?

    Se pose le problème des fonctions du monument, en liaison avec ses multiples accès : sachant qu'il n'y avait pas de clocher à l'époque de la Révolution et que l'habituel oculus de première travée était remplacé par l'effigie de la Vierge, on peut se demander par exemple quel était l'intérêt de l'escalier en vis avant la surélévation par un grand comble 

    Au total on aura reconnu les caractères communs aux églises austères de Haute-Marche, mais c'est avec les chapelles des templiers (Paulhac, Blaudeix, Charrière) que la similitude est la plus étroite. Deux autres églises portent des liernes recoupant l'ensemble de leurs voûtes: Coyroux  plus ancienne, et Saint Quentin, plus récente. La chapelle de Charrière, pourtant géographiquement éloignée, présente avec celle de Gouzon bien des points communs : trois travées seulement, plus amples (plus de 6 m de large, 6.60 m de long en moyenne) un portail avec des archivoltes latérales reposant sur des  masques. Cependant, les choix de modernité y sont comme inversés : les baies uniques des pignons ont une archivolte en sourcil soulignant les ébrasements extérieurs en plein cintre, les tailloirs droits et consoles se réfèrent au premier gothique, mais les ogives et liernes sont taillés en amande et les crochets végétaux extérieurs paraissent plus charnus—————

    Lors du transfert et de l'agrandissement de l'église sont mentionnés des réparations au plâtre pour des nervures et des percements dans les voûtains de l'ouest pour les contrepoids de l'horloge, indices de l'authenticité des voûtes. En revanche, les baies sont entièrement refaites à l'intérieur. Le portail sud a été longtemps muré, sans doute depuis l'aménagement de la route royale de Limoges à Moulins.

    Source - Bulletin municipal de la ville de Gouzon 2006

  • Evolution de la ville de Gouzon de 1803 à 2020

     

    Ces recherches ont été effectuées suite à la consultation des registres de délibérations des communes pendant plus de 200 ans. Je ne pouvais pas tout retranscrire, cela aurait été fastidieux. Mais les grandes lignes sont là. Bonne lecture !

    An XI  - 6 Germinal  (27 mars 1803) - Création de deux postes de gardes champêtres. Sont nommés Gabriel Devoize et  Jean Pallier anciens et braves  militaires avec congés abolis. Ils seront payés 30 livres par mois.

    An XII - 23 vendémiaire (16 octobre 1803) Le conseil municipal envisage la réparation de l'église et du presbytère en mauvais état. Considérant que la commune n'a aucun revenu des mesures sont prisent pour le paiement des travaux  décide l'affermage pendant cinq années deux cents hectares de terrain communal ainsi défini : 80 dans la Brande de la Sciauve, 115 dans celle des Landes, 3 dans celle de Réville et 2 dans celle de la Voueize. Le restant sont les parcelles a défricher. Joseph Giraud est choisi comme charpentier, Jean Reinaud comme couvreur.

    An XII - Le 3 frimaire (25 novembre 1803)  : Extrait du registre de la commune concernant la Maison d'Arrêt de Gouzon.

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    Transcription : Contrat provisoirement pour veiller à la sureté de la maison d'arrêt de cette commune, le dit Gabriel devoize, demeurant à Gouzon et à cet effet arrête qu'il lui sera remise de toutes les clefs, cadenas, chaines, et un mot de tout ce qui sert à la sûreté de la maison d'arrêt. Fait et arrêté en la Mairie de Gouzon le 3 frimaire de l'an 12 de la République française. Signé : B. Guillot, Maire

    An XIII - 13 Brumaire (4 novembre 1804). Suite à l'évasion de deux prisonniers (conscrits réfractaire et déserteur) de la prison de Gouzon poursuivit par Gabriel Devoize, concierge de cette même prison et garde champêtre, celui-ci sera remplacé provisoirement par Michel Vernaudon, propriétaire à Gouzon.

    De l'an XIII à 1823  Il n'y a pas de faits précis. La commune s'organise pour mettre en affermage beaucoup de terrains en friche. Elle borne aussi les secteur sans préciser les endroits précis hormis la Brande des Landes qui débordait de son côté nord sur le chemin de Chambon. Seule la route Royale Moulins-Limoges traversant le village est notée. Les chemins menant à Chénérailles (en passant par Gouzougnat), chemin de la Celle et le chemin de Boussac n'étaient pas encore très carrossables et en construction. En 1824 on parle de routes départementales de la Châtre, de Felletin par Aubusson, d'Evaux. La ville de Gouzon devient plus accessible.

    1824 - 10 mars : Le Sieur Jean Redhon, thuilier, habitant au lieu de Champneuf, commune du Moutier-Rozeille désirant s'intaller à Gouzon pour y construire une tuilerie est autorisé a construire celle-ci sur la communal des Landes. La municipalité abandonne à la jouissance de sieur Redhon pendant le cours de cinq années consécutives à compter du 1er avril jusqu'à l'an 1833. Sept acres de terrains proches de la fontaine dites"de Michel Gourdon" près du chemin qui mène à Gouzon à l'arbre du pêcher, par lequel le dit Redhon devra à ses frais et dépens au four en maçonnerie et faire cuire au moins douze milliers de thuiles (orthographe respecté) ou briques, une hale propre pour y faire sécher la dite thuile. Il pourra y construire également une maison ou baraque à son usage, le tout solide et de bonne construction.

    9 mai - Demande d'Antoine Goumy, aubergiste, propriétaire de l'Hôtel "Le Cheval Blanc" demande l'autorisation de faire construire un corps de bâtiment vis à vis de son hôtel.

    1825 - D'après le devis d'un montant de 13200 francs établi par le  Sieur Fabre, architecte des ouvrages à faire, il est décidé de rénover l'ancienne chapelle de Notre Dame qui est actuellement en ruine.

    1828 - 8 décembre : Le sieur Gilbert Baraud, tambour de la ville  est remplacé par le sieur Pierre Berger fils, fabricant de poterie.

    1829 - Le conseil municipal se félicite de ses travaux routiers en faisant référance à l'article de journal paru dans " l'Abeille de la Creuse" du 10 septembre 1829.

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    1831 - La sous préfecture informe monsieur le Maire que trois prisonniers condamnés à perpétuité d'après l'arrêt rendu par la cour des pairs seront internés à Gouzon. Il s'agit des sieurs d'Haussy, De Monlut et Capelles.

    1833 - Il est décidé la construction d'un bâtiment renfermant une école d'instruction primaire suivant ce plan : une Hall au rez de chaussée, une classe pour l'enseignement au premier et un Hôtel de Mairie au deuxième étage. Pour faire face à cette dépense des biens communaux seront vendus. En attente de la construction Sieur Belot loue à la commune un local pouvant accueillir les élèves et un logement pour l'instituteur.

    Population de la ville : 1415 habitants

    1837 - La construction du pont au lieu-dit " Le Thiolet" menant à la Celle sous Gouzon et à Boussac est terminé. Cet endroit était impraticable en hiver.

    1838 - Le Marquis de François Ligondes, ancienne figure de la noblesse gouzonnaise est poursuivi en justice par la commune pour s'être approprié des terrains et des chemins communaux. Depuis 40 ans la commune réclame sans cesse ses biens. (On peut lire pratiquement chaque année depuis 1803 les litiges qui oppose le Marquis à la commune. Pour faire valoir ses droits le Maire faisait venir trois hommes de plus de 70 ans en leur demandant s'ils avaient vu autrefois des personnes ou cavaliers emprunter tel ou tel chemin qui en étaient le litige. A chaque fois les trois personnes choisis confirmaient que ces endroits avaient été des chemins communaux emprunter par des charrettes, personnes etc...) Ce problème sera résolu à l'amiable en 1843.

    1841 - Le conseil municipal décide suivant les instructions du Préfet que 12 élèves seront admis gratuitement à l'école. Les autres devrons payer 2 francs par mois quelque soit son degré d'instruction.

    1842 - Suite à la proposition du Préfet le conseil municipal accepte le tracé et les travaux de la Route Royale 145 de Limoges à Moulins, la route départementales n°6 d'Evaux à Bourganeuf et la route départementale n° 9 d'Issoudun à Gouzon.

    1846 - La maison d'école n'ayant toujours pas été construite, la municipalité tente à nouveau de trouver les fonds pour commencer les travaux.

    1849 - Le conseil municipal envisage de construire le batiment d'école comme le plan prévu en 1833 sur les ruines de l'ancienne église attenant àu corps de garde.

    1852 - Dimanche 5 décembre : Proclamation de l'Empire dite par le Maire de Gouzon sur la place de l'église après la messe.

    1855 - Création d'un bureau de bienfaisance.

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    1861 - La commune est choisi par les haras nationaux de Pompadour pour accueillir une installation à Gouzon. Un nouveau cimetière sera construit prochainement au Nord de la comune. Un chemin sera réalisé pour s'y rendre.

    Cimetiere 1861

    Cette information sur la position du nouveau cimetière avec l'ouverture d'une nouvelle route nous apprend que l'ancienne route de Boussac passait par la rue Saint Martin.

    1862 – Enquête de la Compagnie des Chemin de Fer d’Orléans concernant la ligne Montluçon-Limoges pour l’emplacement de deux gares. La ville de Lavaufranche a été choisi en premier puis la gare de Parsac en second au regret de cette même compagnie notifiant que la ville de Gouzon aurait dû être choisie par le manque de renseignement de l’ingénieur en chef du service des contrôle quant à la population des deux villes.

    1868 – Ouverture d’une école libre avec pensionnat pour 30 élèves, par deux institutrices religieuses dans une maison située place de la prison. ( aujourd’hui la maison paroissiale)

    1876  - La mairie prévoit une maison d'école. Le bâtiment central abriterait la Mairie au rez-de-chaussée. Le premier étage devrait contenir un logement pour l'instituteur et le grenier aménagé pour l'institutrice. Les salles de classes seront construites de chaque côté du bâtiment dont la séparation de la cour des filles et celles des garçons sera délimité par une barrière en bois. Les classes et la Mairie seront équipées d'une cheminée en pierre de Volvic

    Plan eole 1874

    1877 – Construction d’un pont bascule pour le pesage des animaux et .des voitures au champ de foire à la porte de l’ancien cimetière.

    1879 – Nouvel emplacement pour les étalons nationaux du Haras de Pompadour au château de Réville.

    Création d’une fête communale chaque année le troisième dimanche de septembre.

    Il manque aux archives de la Creuse le répertoire des délibérations de la commune de 1881 à 1896. Donc les indications que je vous donne entre ces deux dates correspondent à des projets en cours sur les répertoires précédents ou d'un fait et d'une date trouvés ultérieurement dans les registres après 1896..

    Le 14 juillet 1878 le terrain est acheté par la commune le long de la Route nationale 145 pour la construction de l'école (et Mairie) puis clôturé aussitôt.

    1880 - Plan complet de l'école à construire.

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    1882 – Installation du télégraphe.

    1900 – Refus du rattachement de la commune au réseau téléphonique de la Creuse (Prix trop élevé). La ville est déjà équipée d’un poste télégraphique depuis février 1882. Sept facteurs desservent sept communes au niveau postal.

    1901 – Projet de construction d’un abattoir municipal.

    Création de deux foires aux chevaux les 4ème mardis d’avril et de septembre.

    Population de la ville 1646 individus – 441 ménages – 440 maisons

    1903 – Projet d’un Groupe scolaire

    1904 - Agrandissement du groupe scolaire actuel. Le bâtiment sera agrandi  pour contenir trois classes de filles et trois classes de garçons et un appartement d'habitation à chaque extrémité pour loger les instituteurs. Il sera a nouveau rénové en 1932.

    Ecole de Gouzon

    1905 – Installation du réseau électrique ainsi que l’éclairage public de la ville par la Société des Forces Motrices de la Tardes

    1906 - Population de la ville 1692 individus – 469 ménages – 439 maisons

    1908 – Election du Maire – élu Jules Alexis Naboulet, Notaire de la ville. Sera réélu jusqu’en 1925

    1910 – Démolition du presbytère.

    1911 – Construction du chemin menant à l’abattoir (actuellement ateliers de la commune) en construction après le pont de Lavaux.

    Création d’une ligne automobile entre la Gare de Parsac – Gouzon -Evaux-les-Bains

    Population de la ville 1682 individus – 508 ménages – 484 maisons

    1914 – Pose d’une ampoule électrique avec commutateur dans le bureau de la gendarmerie.

    Empierrement de la place du marché

    1917 – Réquisition de 15 prisonniers allemands pour les réfections des chemins communaux

    1919 – 2 novembre à 14 H. (Communiqué des grandes associations françaises à Paris) Première manifestation patriotique en mémoire des Héros tombés au champ d’honneur.

    1920 – Prévisions de l’agrandissement du cimetière.

    Construction du monument aux morts de la Guerre de 1914 – 1918. Socle et plaque fabriqués par Messieurs Pelletier et Pérrot d’Ecuras à Saint Pardoux -les-Cards. Statue exécutée par la Maison Jacommi.

    1921 - Population de la ville 1485 individus – 466 ménages – 437 maisons

    1922 – Agrandissement du cimetière sur la partie Nord. Celui-ci avait déjà été agrandi en 1889.

    Achat d’un chauffage pour l’abattoir.

    1923 – Une plaque photographique réunissant les soldats « Morts pour la France » est installée au cimetière conformément aux choix des familles.

    1924 – Eclairage au champ de foire et de la place du Lion d’Or ainsi que du bureau au préposé à l’abattoir.

    1925 – Construction d’un puits à la Ruade.

    Installation d'une pompe à carburant devant la maison Pinet

    17 mai : élection de Jean Marie Furet comme Maire de la ville

    1926 – Mise à la retraite du garde champêtre Alexandre Bujon à l’âge de 93 ans. Né à Gouzon le 7 février 1833.

    La ville est traversée quotidiennement par 250 automobiles. 

    1927 - La ville rachète l'immeuble et les terrains abritant la Gendarmerie à Monsieur Babillot (pharmacien à Bourges) pour la somme de 115 000 francs.

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    Nouvelle association colombophile "L'hirondelle de Gouzon" créé par Félix Deneval

    Formation d'un syndicat intercommunal pour l'électrification des campagnes.

    1928 - Construction d'un lavoir Rue Saint Martin.

    Installation de l'électricité dans la Gendarmerie y compris les logements.

    Juillet : La foudre tombée sur le clocher provoque un début d'incendie. 

    1929- Construction d'un chemin vicinal n°4 à Voueize desservant les trois moulins

    Création de l'Amicale Laïque (société de sports et jeux à l'éducation physique de la jeunesse féminine.

    1930 - Création d'un circuit de poste automobile rural.

    1933 - L'église de Gouzon est classée en monument historique

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    1934 - Création de la société de pêche.

    1935 - L'opérateur du téléphone et du télégraphe de Gouzon demande à ce que les horaires  soient allongés jusqu'à 21 H suite à la hausse d'abonnés.  Environ 30 abonnés dans la ville et les alentours. Demande acceptée par la commune

    1936 – Création d’un Centre de Sapeurs-pompiers

    1938 - Réouverture de la succursale de la Caisse d'Epargne fermée en 1914

    4 avril. Tempête de grêle sur toute la ville. 72 arbres arrachés, énormément de dégâts de toitures sur tout le village. Récoltes anéanties. Il est dit "de mémoire d'homme on n'avait jamais vu ça !".

    Cyclone 1

    1940 - 9 mai. Monsieur Petit maire de la ville étant mobilisé est remplacé provisoirement par monsieur Darlet son premier adjoint.

    19 juin - Bombardement de la ville par des avions ennemis. 8 décès à déplorer dont 4 gouzonnais : Emile Parrot, Léontine Maignaux veuve Aujay, Jean Villatte et Françoise Mialot. Les frais d'enterrement sont pris en charge par la mairie sauf celle de Françoise Mialot, gouvernante de madame veuve De Cluzeau, sa patronne,  qui a pris les frais de celle-ci à sa charge.

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    1941 - Electrification de la Gare de Parsac. Participation de 800 francs par la ville de Gouzon

    1942 - Monsieur Jean Baptiste Berger lègue au bureau de bienfaisance de Gouzon la somme de 10 000 francs.

    1943 - Création d'un terrain de sports (emplacement actuel)

    Population - 1557 habitants

    1944 - 31 août. Le Comité de libération nomme Paul Guyonnet comme Maire de la ville.

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    1945 - 21 août - une vingtaine de prisonniers allemands sont employés pour les travaux agricoles. Une dizaine de plus doivent arriver et seront employés pour les tâches communales. Réfections des routes et des chemins, coupe du bois etc...

    Le Préfet de la Creuse accorde gratuitement au Centre de Secours de Gouzon une moto-pompe "Laffy" d'un débit de 60 mètres cubes par minute.

    Décembre - Projet d'installation du téléphone à la Mairie pour l'année 1946.

    1946 – André Pinet est élu Maire de la ville. Félix Pradillon élu adjoint.

    Création de la ligne du téléphone automatique. Auparavant les abonnés devant passer par l'opérateur de Gouzon

    1947 - Population : 1557 habitants 

    Noms des propriétaires des débits de boissons payant la taxe sur les licences : Beaune : Bignet : Pradillon : Loiseau : Villatte : Labarre : Dussot : Conchon : Montagne : Luzier : Veuve Simonnet : Laumy : Darlet : Benoit : Vernaudon : Meyret : Peroux : Lajoie : Thonnet : Grenetier : Lavandon. (21 licences, soit 1 débit de boissons pour 74 habitants)

    Noms des personnes possédant un distributeur automatique d'essence : Simmonet, Montagne, Girardin, Lajoie, Noizat, Belot et Benoît.

    Un trottoir est construit dans la rue du Cheval Blanc le long de la Gendarmerie.

    1948 - Aménagement du terrain de sports et création d'un de basket-ball et de football. Création de la Société de football.

    Achat d'un fourgon à incendie.

    1951 - Création d'une ligne d'autobus comprenant deux allers-retours par jour desservant les villes de Chénérailles - Gouzon - Trois fonds - Chanon - Bord Saint Georges - Verneiges et Nouhant.

    1952 - Achat d'une machine à écrire pour la Mairie.

    1953 - Travaux de raccordement du tout à l'égout dans plusieurs rues du bourg.

    1954 - Population : 1364 habitants

    Construction du bâtiment abritant la Perception.

    1955 - Installation de cabines téléphoniques publiques à Périgord, Réville, Lauradoueix, Sourdoux, La Feuillade et La Brosse.

    La ville de Gouzon a accueilli pour deux années consécutives 1954 et 1955 puis en 1957 la finale de Football de la Coupe de la Creuse  attirant environ 1000 spectateurs.

    1957 – Création d’un service d’eau potable avec la pose d’un compteur individuel pour les habitations.

    1958 - Achat de l'immeuble de Monsieur Belot (place du marché) pour l'aménager en salle des fêtes.

    1960 - Installation du chauffage central dans l'école et la mairie.

    1962- Aménagement du stade de l'ASG. Vestiaires, douches, électricité.

    Installation d'un paratonnerre sur le clocher de l'église.

    1963 - La commune de Gouzon cosigne la motion présentée par le bureau de l'union amicale des Maires de la Creuse afin d'alerter le gouvernement de la situation dramatique du département qui a perdu 110 000 habitants en 50 ans, soit 45% de sa population.

    1964 - Création par monsieur André Duchez de la "Société des Tuileries de Lavaud"

    Rénovation complète du groupe scolaire.

    1965 - Election d'André Debellut, Maire de la ville. Armand Clavaud est élu adjoint.

    Eclairage du stade.

    1967 - Construction d'une caserne des sapeurs-pompiers (emplacement actuel). Empierrement de la rue.

    1968 - Installation d'une horloge électrique programmable pour l'église.

    1969 - Population : 1451 habitants

    Suppression de l'abattoir pour raison de déficit. (Aujourd'hui reconverti en atelier de la commune)

    1971 - Election de Georges Boudart, Maire de la ville. Premier adjoint Henry Lenoble

    Le poste de Garde Champêtre est supprimé après le décès du titulaire.

    1972 - Fusion des communes Gouzon - Gouzougnat - Les Forges

    1973 - Fin des travaux de la nouvelle Gendarmerie, rue des poiriers.  Pose d'une nouvelle sirène sur le toit de celle-ci. Inauguration le 17 octobre.

    1974 - Construction du Camping.

    1976 - Fin de la construction du lotissement "Les Chaussades"

    1977 - Achat d'une Citroën 2CV pour le déplacement des services communaux.

     1978 - Construction de trottoirs route de Boussac (aujourd'hui rue du commerce)

    Aménagement du stade avec un éclairage nocturne. Chauffage dans les vestiaires. Revêtement du terrain de Tennis.

    Le nouveau bâtiment de la Perception a ouvert depuis le 1er juin. Les anciens locaux sont loués à Jean-Claude Jouanny Chirurgien-Dentiste. 

    Ouverture du nouveau bureau de la Poste à coté de la perception.

    1981 - Vente de lots à construire au quartier de la Sablières.

    1980 - Remplacement de Mlle Couturier, secrétaire de Mairie mis à la retraite le 31 juillet. Pierre Chapy lui succède.

    1982 - Construction d'un pavillon à la Gendarmerie pour loger le chef de brigade.

    1983 - Construction de la station d'épuration. Raccordement à de cette station jusqu'à Laugères.

    Permis d''exploitation d'une mine d'Uranium.

    Constitution d'un syndicat intercommunal d'aménagement du bassin de la Voueize.

    1987 - Achat de l'Hôtel Beaune.

    Création de la SARL "Golf de la Jonchère"

    1988 - Ouverture de la salle polyvalente.

    Fin de l'exploitation de la mine d'uranium par Total Compagnie Minière.

    1989 - 20 mars. Election de Jean Pierre Vacher comme Maire de la ville. Michel Sourdille est élu 1er adjoint. Jacques Willaert élu second adjoint. Gilles Parenton élu troisième adjoint.

    1990 - Création d'une zone artisanale route de Montluçon.

    1991 - Adhésion à l'Association intercommunale du " Carrefour des quatre provinces"

    Ouverture d'une station à essence à côté du Camping route de Chénérailles. Bail à Michel Labarre

    Rachat par la commune de l'ancienne mine d'uranium (démantelée) de TOTAL comprenant un transformateur et des installations sanitaires.

    Jumelage avec la ville d'Alcantera (Espagne)

    1992 - Création d'une garderie à l'école. Création d'une Communauté de communes

    1993 - Projet de construction de 8 logements locatifs rue du stade " OPDHLM derrière la maison de retraite". Mme Hervouet, une donatrice, participerait financièrement pour la somme de 410 000 francs (62700 euros environ) à condition que 4 logements soient exclusivement loués à des personnes en retraite ou handicapées

    1994 - Legs de Mme Hervouet suite à son décès le 12 janvier  de 450 0000 francs à la ville de Gouzon

    1995 - Informatisation de la Mairie.

    Pose d'un distributeur automatique de billets au Crédit Agricole (1er dsitributeur de la ville)

    Fin de la construction du boulodrome, rue du stade.

    1996 - Achat par la commune du Moulin des Bathalots aux héritiers Lavandon

    1997 - Travaux d'assainissement de la Zone de Bellevue.

    Dénomination des voies et places publiques et numérotage des immeubles.

     

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    1998 - Adhésion de la commune au Cyber-Réseau "Internet" via l'opérateur Wanadoo.

    Construction des locaux de l'entreprise SOCALEC dans la zone artisanale de Bellevue.

    Création d'un nouveau club de football "L'avenir de Gouzon" par Lemut

    2001 - Aménagement du Champ de Foire d'une aire d'accueil pour camping-car.

    2002 - Construction de cinq pavillons par l'OPDHLM route des Forges.

    2003 - Acquisition du bâtiment Lemut par la Communauté de Communes des quatre provinces pour y installer l'Office de Tourisme.

    2004 - Aménagement de l'ancien Hôtel Henri Beaune en Maison de la Culture et loisirs des jeunes et des associations.

    Création d'une chambre funéraire par Marc Thomas.

    Construction d'un boulodrome à côté du stade. Le club La Fanny Gouzonnaise a créé une école de pétanque.

    Achat de l'immeuble rue du cheval blanc appartenant à Christelle Meiss pour l'agrandissement de l'Office du Tourisme

    Achat de l'immeuble adjacent appartenant à Michelle Crétaud pour le modifier en bibliothèque municipale.

    2005 - Fin de la construction de la RN 145 de la Souterraine en deux fois deux voies jusqu'à la limite de l'Allier.

    Accès au Gaz de ville.

    2007 - Fin des travaux des réseau d'alimentation de l'eau, enfouissement des lignes électriques et des conduits du Gaz en Centre Ville.

    2008 - Election de Cyril Victor comme Maire de la ville. 1er adjoint : Michelle Aufrère : 2éme adjoint : Michel Mathivat : 3ème adjoint : Jean Pierre Roby

    2011 - Fin des travaux de l'aménagement de la place de l'église.

    2012 - Ouverture de l'école de musique " Georges Raterron"

    2013 - Population 1511 habitants

    Fin des travaux de la réfection de l'église.

    Acquisition d'un équipement numérique pour la salle de cinéma.

    2014 - Réélection de Cyril Victor comme Maire de la ville. Michèle Aufrère 1ère adjointe : Michel Mathivat 2ème adjoint : Anne Parot 3ème adjointe

    Démission de Michèle Aufrère comme première adjointe au Maire tout en restant au conseil municipal. Michel Mathivat passe 1er adjoint.

    2017- Agrandissement de la salle polyvalente.

    2018 - Restitution du gîte des Barthalots : Depuis plusieurs années, le gîte des Barthalots, à Voueize était géré par la communauté de communes. Depuis la fusion, Creuse Confluence ne souhaite plus s’occuper de ce gîte, qui était principalement loué à des vacanciers l’été. M. le Maire propose donc de reprendre la gestion de ce bien, mis à disposition de l’intercommunalité. Après une visite des locaux qui a permis de valider le bon état du bâtiment, les élus du Conseil acceptent de reprendre possession du gîte des Barthalots et le remettre en location après quelques travaux d’amélioration du chauffage (poêle à granulés). De plus, la période de sécheresse a permis de curer l’intégralité de l’écluse du moulin, qui était complètement ensablée. 

    Agathe Decousset-Ferrari remplace Pierre Chapy, au service des gouzonnais depuis 38 ans. 

    2020 - Cyril Victor réélu Maire de la ville pour un troisième mandat.

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  • Etre socialiste à Gouzon en 1937 était risqué !

    Imaginez-vous ça aujourd'hui.

    Ashampoo snap dimanche 26 avril 2020 12h06m56s 008

  • Quand la Creuse se déchaîne !

    Trouvé dans les actes du registre de 1784 à 1792 à Anzème par  Patricia Villemalard Thiebaud.

    Ashampoo snap dimanche 26 avril 2020 17h24m14s 020 chrome legacy window

  • OVNI en Creuse

    Dès 1906 à Gouzon une histoire d'extraterrestres bien avant Roswell en 1947

    Sources : Archives départementales de la Creuse

    Ashampoo snap mercredi 15 avril 2020 17h02m26s 003 avpageview

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